why should I lie?

why should I lie?

Saturday, March 24, 2018


...perché a Roma diremmo: 
"Quanto ye ce rode!"


Venerdì 23 marzo "le Monde"

« Tu rigoles moins maintenant, Sarkozy ! » Le titre sarcastique barre la « une » de l’édition d’Il Giornale de mercredi 21 mars, au-dessus d’une photographie montrant l’alors président français et la chancelière allemande, hilares, en octobre 2011, alors qu’on venait de leur poser une question sur l’Italie en pleine tempête financière. Plus encore que le reste de la presse italienne, qui a fait un large écho à la garde à vue et à la mise en examen de Nicolas Sarkozy, dans le cadre d’une enquête pour des soupçons de financement illégal de la campagne présidentielle 2007, le quotidien de droite, propriété de la famille Berlusconi, a consacré sa « une » et trois pages à l’événement.
Il faut dire que le contentieux entre les deux hommes est particulièrement vif depuis la chute du gouvernement italien, en novembre 2011, pour laquelle Silvio Berlusconi attribue une grande responsabilité à Nicolas Sarkozy. Mais en dehors de cette haine personnelle, dont Il Giornale se fait régulièrement le porte-voix, la presse italienne dans son ensemble a souligné que la mise en cause par la justice française de l’ancien président jetait une lumière crue sur un autre contentieux franco-italien particulièrement profond : l’intervention internationale en Libye, en 2011, qui fait l’objet, de part et d’autre des Alpes, de lectures radicalement différentes.
Plus que la campagne de 2007, c’est bien cet épisode, dans lequel la France a joué un rôle central, qui, après la mise en cause de Nicolas Sarkozy, prend un sens radicalement nouveau. Pour le Corriere della Sera (centre droit), « même si le cadre international d’une résolution de l’ONU a été respecté et si l’opinion publique européenne était plutôt favorable à la fin du régime, séduite par l’espérance de démocratie du monde arabe », c’est bien Nicolas Sarkozy qui a « appuyé sur l’accélérateur et fait décoller ses bombardiers », en mars 2011, faisant peu de cas des...

"E adesso ridacchi meno, Sarkozy!" *

* leggasi! "Prendi meno per i fondelli!" 
oppure "Ma non potevi ride delle rogne tue?"

oppure ..."vasta scelta"

Il titolo sarcastico domina la "uno" dell'edizione di "il Giornale" di mercoledì 21 marzo, titolo che introduce una foto dell'allora presidente francese e della cancelliera tedesca ilari, nell'ottobre 2011

E perché siamo buoni, altrimenti, così come gli inquirenti, potremmo parlare di 
"mandante d'una serie di assassini allo scopo di salvare le proprie chiappe...e anche quelle de la grandeur!"

No comments: